La Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET) a reporté ce lundi 22 avril 2024, le délibéré concernant la demande de mise en liberté provisoire de Romaric Boco, poursuivi pour ‘’harcèlement par le biais d’un système de communication’’ électronique par le ministre du cadre de vie, José Tonato.
Romaric Boco est retourné en prison à l’issue de l’audience de ce lundi 22 avril à la Criet. La Cour devrait se prononcer sur sa remise en liberté provisoire, demandée par sa défense lors de la dernière audience. Les avocats de Romaric Boco avaient plaidé en faveur de sa mise en liberté provisoire, arguant des raisons de santé nécessitant des traitements à l’étranger. Cependant, la Cour a préféré reporter sa décision au motif que des éléments supplémentaires devaient être examinés avant de statuer sur cette demande. Le verdict est reporté au 6 mai 2024.
Le dossier de Romaric Boco retient l’attention depuis son arrestation. Le prévenu a plaidé coupable et a présenté ses excuses au ministre José Tonato.